L’ouverture du port international du Sud ne dépend pas uniquement de l’Autorité Portuaire Nationale (APN), a souligné le directeur général de cette institution. En tant que régulateur du secteur, l’APN doit veiller au respect des normes internationales concernant les installations portuaires.
M. Jocelyn Vilier, directeur général de l’APN, a précisé que son institution avait soumis un cahier des charges au port international du Sud. Des infrastructures et du matériel spécifiques doivent être disponibles pour assurer la conformité aux normes. Ces mesures visent à garantir le respect du code ISPS (Code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires) en matière de sécurité.
En outre, d’autres organismes, tels que la Douane, l’immigration, la Police Nationale d’Haïti (PNH), ainsi que les ministères de l’Intérieur, de l’Agriculture et de la Santé, doivent également jouer un rôle dans ce processus.
Un port peut être une arme à double tranchant, avertit M. Vilier, soulignant l’importance de la présence des institutions étatiques. C’est le seul moyen de prévenir que cette infrastructure ne soit utilisée à des fins de trafic de drogue et d’armes.
LLM / Radio Métropole Haïti
Envie d’en savoir plus sur l’actualité haïtienne ? Continuez votre lecture en explorant nos autres articles et analyses https://metropole.ht
Pour ne rien manquer de nos émissions et reportages exclusifs sur Haïti, abonnez-vous à notre chaîne YouTube en suivant ce lien
Suivez-nous sur nos réseaux sociaux :
Instagram – Facebook
Vous pouvez également écouter la radio en direct en cliquant ici : https://metropole.ht/100-1-fm/
Publicité