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Le gang de Ti Makak est pratiquement démantelé

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Les offensives des forces de l’ordre avec l’appui des résidents de Laboule ont fini par démanteler ce gang. La mort de Carlo Petit Homme a provoqué la fuite de son frère, Joselito et des autres bandits.

Selon des habitants, Joselito s’est enfui avec le butin du chef de gang. Il pourrait s’agir de plusieurs centaines de milliers de dollars américains.
Il est recherché par les forces de l’ordre et les habitants.

Les deux frères dirigeaient ce gang formé à l’origine dans le cadre de conflit terrien.
D’autres parents de Petit Homme étaient également impliqués dans la lutte contre, Toto, un entrepreneur dans le secteur
de l’immobilier.

Ces bandits sont originaires de la zone de Laboule, Fesa et Désiré.
Ce gang, devenu redoutable, est responsable de l’assassinat d’une centaine de personnes en moins d’une année.
Plus d’une dizaine de policiers ont été également assassinés sur la route de Laboule.

Ti Makak, ancien lieutenant d’Arnel Joseph, était allié des chefs de gang Iso et Ti Lapli.

LLM / radio Métropole Haïti







De nombreux présumés bandits tués dans la capitale

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Même si aucune statistique n’est disponible les rapports des résidents de plusieurs quartiers font état d’un véritable hécatombe des bandits.
Certains spécialistes estiment qu’entre 100 à 200 bandits ont été tués lors des opérations lancées par des groupes d’auto défense dans plusieurs quartiers.

Les bandits ont été pris au dépourvu par la réaction violente des habitants de la capitale en colère.
Le signal de la révolte a été donné par les résidents du Canapé Vert qui ont lynché 10 bandits. Quelques heures plus tard deux autres bandits ont été lynchés à Turgeau.

Les bandits, qui avaient déjà établi leur base ä Debussy, ont été pourchassés par les policiers.
Avec l’aide de la population qui leur ont servi de guide, les policiers ont traqué les bandits. A court de munitions nombre de malfrats ont été capturés et lynchés par des foules en colère.

Des habitants de Mayotte, de Laboule, de Thomassin, de Jalousie etc ont pris le train en marche en pourchassant les bandits.
Il sera très difficile de déterminer le nombre de bandits tués.

Hier soir des bandits de Grand Ravine ont lancé l’assaut contre le sous commissariat de Savane Pistache. Ils ont été repoussés par les policiers résidant dans la zone de Carrefour feuilles et les habitants.

LLM / radio Métropole Haïti







La chasse des bandits se poursuit dans la région métropolitaine de Port-au-Prince

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Dans plusieurs quartiers les résidents ont dressé des barricades et vérifient les véhicules et leurs occupants. <br><br> Un retour à la normale était noté sur plusieurs grandes artères de la capitale.

De nombreux véhicules étaient remarqués dans les rues.<br> <br>

Des médias font valoir qu’aucun cas de kidnapping n’a été signalé au cours des dernières 72 heures. À Laboule la circulation automobile a repris.

Un reporter de radio Métropole a constaté que des automobilistes utilisaient ce tronçon pour se rendre au sud de la capitale. <br><br> Les residents de Laboule pourchassaient les membres du gang et nettoyaient les rues de leur quartier.

À Martissant les automobilistes ont noté l’absence des bandits de Village de Dieu et de Grand Ravine. C’est la première fois en trois ans qu’ils n’étaient pas visibles dans des points fixes sur le boulevard Jean Jacques Dessalines. Des sources généralement bien informées font état de pertes énormes pour ces deux gangs.’

<br><br> Des alertes ont été lancées en vue de maintenir la traque des criminels. Le porte parole de la Police, Le commissaire principal, Gary Desrosiers, a annoncé la poursuite des opérations.<br><br>

Les résidents de Turgeau, qui avait donné le signal de la révolte, étaient sur pied de guerre hier. Ils veulent empêcher des représailles des bandits de village. <br><br> LLM / Métropole Haïti







Haïti est en danger il faut une intervention armée affirme le ministre des affaires étrangères

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Le chancelier haïtien, M. Jean Victor Généus, a une fois de plus présenté des supplications à l’attention de la communauté internationale.
Dans son intervention, lors d’une réunion spéciale du conseil de sécurité de l’ONU sur la crise haïtienne, M. Généus a dressé le sombre tableau de la situation en Haïti.
La situation s’est considérablement détériorée durant les dernières 48 heures, a martelé le ministre des affaires étrangères évoquant les attaques des gangs et les réactions de la population.

Le spectre effrayant d’affrontements violents se dessine, prédit M. Généus qui réclame une action urgente.
Il réitère une fois de plus son appel pour le déploiement d’une force armée spécialisée internationale.

De l’avis du chancelier cette force internationale est indispensable pour aider le gouvernement a endiguer la violence des gangs, a rétablir l’état de droit et à établir les conditions nécessaires à l’organisation des élections.

Le ministre assure qu’il y a lieu de s’alarmer puisque l’emploi systèmatque de la violence aveugle par les gangs est devenue une méthode pour la préparation d’attentats, de vols, d’assassinats, prises d’otage et viols.
Les gangs ont instauré un climat de terreur généralisé, a laissé entendre M. Généus faisant valoir que 80 % de la région métropolitaine est contrôlés ou est sous influence des gangs.

Il fait remarquer que la question migratoire s’est aggravée en raison des déplacements massifs de populations.

Selon des statistiques de l’OIM il y aurait plus de 128 000 déplacés à cause de la violence des gangs.
Haïti est en danger et à besoin de l’aide urgente des Nations unies, a expliqué M. Généus a la tribune de l’ONU.

LLM / Métropole Haïti

Des économistes tirent la sonette d’alarme pour le taux de change

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De nombreux économistes tirent la sonette d’alarme sur la détérioration de l’économie liée au pourrissement de la crise.
La dégringolade de la gourde devrait s’intensifier en raison du départ des bénéficiaires du programme humanitarian parole.
C’est à la fois une fuite des cerveaux et des capitaux, déplorent ces économiste alertant sur les conséquences néfastes de cette hémorragie de matières grises.

Des experts signalent que chaque bénéficiaire pourrait quitter le pays avec 5 000 dollars américains en poche.
La fuite des capitaux pourrait atteindre 500 millions de dollars.

Pour éviter un effondrement de l’économie, les experts recommandent le recours au transfert de fonds. Les bénéficiaires du programme humanitarian paeole peuvent via les banques transmettre les ressources aux sponsors.

Dans le même temps des spécialistes encouragent les opérateurs économiques à éviter le paiement en cash et à utiliser d’autres transactions financières.
Le paiement via le spih serait très intéressant et permettrait d’éviter les pertes liées au taux de change de la gourde.

Un responsable de la BRH à révélé que les autorités monétaires envisagent de réduire les frais sur le spih afin de favoriser son utilisation.
La crise politique peut entraîner une grave crise économique. Les opérateurs économiques haïtiens sont confrontés à de grandes difficultés pour obtenir le dollar indispensable pour l’importation.

Les activités touristiques qui peuvent favoriser un afflue de dollars sont paralisées depuis plusieurs mois.

LLM / Métropole Haïti







L’ONU  a  jugé urgent le  déploiement, d’une force internationale spécialisée en Haïti

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L’envoyée de l’ONU en Haïti a appelé mercredi le Conseil de sécurité à agir immédiatement pour aider le pays à briser le cycle de violence qui affecte durement la population haïtienne.

« Le temps presse et le peuple haïtien mérite votre action urgente. S’il n’est pas soutenu, le cercle vicieux de la violence, de la crise politique, sociale et économique, contre lequel le peuple lutte chaque jour, continuera… Nous devons agir maintenant », a déclaré la nouvelle Représentante spéciale du Secrétaire général pour Haïti, Maria Isabel Salvador, lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur la situation dans ce pays.

Déployer une force internationale spécialisée

Mme Salvador, qui vient de succéder à Helen La Lime ce mois-ci, a notamment jugé urgent le « déploiement, autorisé par le Conseil de sécurité, d’une force internationale spécialisée » pour aider la Police nationale d’Haïti à lutter contre l’augmentation de la violence des gangs armés.

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Elle a souligné qu’au cours de sa première semaine en Haïti, elle a réussi à circuler dans certaines rues de la capitale Port-au-Prince et a ressenti « la tension et reconnu la peur que vivent les Haïtiens au quotidien ».

« Au cours de mes premiers échanges et interactions, j’ai observé qu’une voie permettant aux Haïtiens d’engager un dialogue vers la restauration des institutions démocratiques dans le pays a été tracée. Cependant, le sentiment général est qu’il sera difficile d’aller de l’avant sans s’attaquer efficacement à l’insécurité endémique », a-t-elle ajouté, notant que depuis le dernier exposé au Conseil par sa prédécesseure en janvier, « la criminalité liée aux gangs s’est intensifiée ».

« La violence des gangs se développe à un rythme alarmant dans des zones auparavant considérées comme relativement sûres à Port-au-Prince et en dehors de la capitale. L’horrible violence dans les zones infestées de gangs, y compris la violence sexuelle, en particulier contre les femmes et les filles, est emblématique de la terreur qui afflige une grande partie de la population haïtienne », a souligné Mme Salvador, qui est aussi la Cheffe du Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH).

Selon les données recueillies par la Police nationale d’Haïti et par le BINUH, au cours du premier trimestre 2022, 692 incidents criminels – définis comme des homicides, des viols, des enlèvements et des lynchages – ont été signalés. Au cours de la même période en 2023, le nombre d’incidents criminels enregistrés a plus que doublé pour atteindre 1.647. Le mois dernier a montré les taux d’incidents les plus élevés depuis 2005.

Une force de police en sous-effectif et mal équipée

Face à des gangs armés de plus en plus violents qui se disputent le contrôle des quartiers de la capitale, avec une présence policière limitée ou inexistante, certains habitants ont commencé à prendre les choses en main.

L’envoyée de l’ONU a observé que la Police nationale d’Haïti est en sous-effectif et mal équipée pour lutter contre la violence et la criminalité. À peine 3.500 policiers sont en service de sécurité publique à tout moment, dans tout le pays. Entre-temps, le recrutement de nouveaux policiers a été interrompu en raison de la détérioration des contraintes sécuritaires et logistiques.

« La police nationale a réussi à monter des opérations anti-gang efficaces, mais la préservation de ces gains de sécurité n’est que momentanée. On ne saurait trop insister sur la nécessité d’un soutien international urgent à la police pour faire face à la détérioration rapide de la situation sécuritaire », a dit Mme Salvador.

Selon elle, au-delà du soutien immédiat dont la police nationale a besoin, « il est urgent de progresser vers une solution nationale à l’impasse politique de longue date » afin de « rétablir une sécurité durable, ainsi que la stabilité sociale et économique ».

S’agissant de la situation des droits de l’homme, elle a souligné que les personnes vivant dans des zones contrôlées par des gangs « sont exposées au taux le plus élevé d’atteintes aux droits humains ». Des entretiens menés par le BINUH indiquent que les gangs continuent d’utiliser la violence sexuelle, y compris le viol à plusieurs auteurs, pour terroriser et infliger des souffrances aux populations vivant dans les zones sous le contrôle de leurs rivaux. D’autres formes de violence sexuelle, telles que l’exploitation sexuelle, ont également été signalées comme étant utilisées par des gangs contre des femmes et des filles vivant dans des communautés sous leur influence.

« Les enfants sont parmi les victimes des crimes les plus odieux, notamment les meurtres, les enlèvements et les viols. Au cours des trois derniers mois, des écoliers ont été touchés par des balles alors qu’ils étaient assis dans leurs salles de classe et enlevés alors qu’ils étaient déposés à l’école. En outre, de nombreuses écoles ont fermé à la fin de l’année dernière en raison de la violence et de l’extorsion par les gangs. Malgré la plupart des réouvertures au début de 2023, de nombreux enfants ne sont pas retournés en classe en raison de violences à proximité de l’école ou dans leur quartier, ou de l’incapacité de leurs familles à payer les frais de scolarité », a dit Mme Salvador.

Lutter contre l’impunité

L’envoyée de l’ONU a jugé essentiel que les crimes de violence sexuelle commis par des gangs armés « ne restent pas impunis et que les auteurs de violences sexuelles soient traduits en justice ».

Elle a rappelé que près de la moitié de la population –5,2 millions de personnes – a besoin d’aide humanitaire. Le nombre de déplacements internes a augmenté de 50% dans la commune de Port-au-Prince par rapport à novembre 2022. Environ 39.000 cas suspects de choléra ont été signalés depuis la réapparition de l’épidémie en octobre dernier. « Les Nations Unies et ses partenaires humanitaires restent sur le terrain et fournissent des services essentiels », a insisté l’envoyée de l’ONU.

Des Port-au-Princiens pourchassent des bandits

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A man carries a sign that reads in Creole “Down with insecurity,” during a protest against increasing violence in Port-au-Prince, Haiti, Tuesday, March 29, 2022. The protest coincides with the 35th anniversary of Haiti’s 1987 Constitution and follows other protests and strikes in recent weeks in the middle of a spike in gang-related kidnappings. (AP Photo/Odelyn Joseph)

Des résidents de plusieurs quartiers de la région métropolitaine de Port-au-Prince affichent une grande vigilance. Ils sont aux aguets afin de se prémunir des assauts des bandits.
Dans les quartiers de Sainte Marie, Debussy, Turgeau, Croix des prés les habitants étaient sur pied de guerre.

Il y a comme une prise de conscience des résidents de la capitale. C’est dans le quartier de Turgeau que la mobilisation est plus intense.

Les habitants et riverains ont érigé des barricades pour protéger leur quartier.
De plus ils mettent en garde les éventuels visiteurs. Afin d’éviter d’autres incursions des bandits, les citoyens appellent les propriétaires à ne pas louer leurs maisons à des inconnus.

Les résidents ont veillé durant la nuit pour se prémunir d’une nouvelle offensive des bandits. Armés de machettes, de piques et d’autres armes blanches les citoyens étaient prêts à en découdre.
Les groupes d’auto défense étaient toujours sur pied de guerre dans le quartier de Turgeau ce mardi 25 avril 2023.

LLM / radio Métropole Haïti







Des résidents restent chez eux pour mourir à Côté Soleil

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La situation est chaotique dans le plus grand bidonville de la Capitale.
Le Maire de Cité Soleil, M. Joël Janeus, avoue son impuissance face à la violence des gangs.

Plus d’une centaine de personnes ont été tuées en une semaine, se désole M. Janeus.
Il révèle que des corps de plusieurs victimes ont été enterrés par des bandits. En outre il explique que les statistiques des décès ne peuvent être communiqués puisque de nombreuses personnes ont disparu.

Les résidents de Cité Soleil se sont résignés à leur sort funeste. Ils ne peuvent plus fuir les violences puisqu’ils n’ont nulle part où aller.
Les résidents restent chez eux pour mourir, constate le maire Janeus.

La Mairie de Cité Soleil est la seule administration opérationnelle dans ce bidonville.
Sans tribunal de paix et sans commissariat, les habitants de Cité Soleil sont livrés à eux mêmes. Récemment l’ONG Médecins sans Frontières a fui la zone à cause de la reprise des affrontements entre les gangs.

M. Janeus juge que rien ne justifie la reprise des combats.
C’est uniquement la méchanceté qui les motive, regrette M. Janeus appelant les gouvernement à poursuivre les trafiquants d’armes et de munitions.

LLM / radio Métropole Haïti







La directrice du CAS écrouée pour corruption

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La directrice, de la caisse d’assistance sociale (CAS), Mme Edwine Tonton, a été écrouée ce mardi 25 avril 2023, sur ordre du juge instructeur Jean Wilner Morin.
Le magistrat enquête sur un rapport de l’Unité de Lutte contre la Corruption (ULCC).

Menottée la directrice du CAS à été accompagnée d’un policier pour être transférée au Pénitencier National.
C’est la première fois qu’un directeur général d’un organisme technique ou déconcentré est écroué suite à une enquête de l’ULCC.

Au cours des dernières années les hauts fonctionnaires avaient évoqué une disposition légale exigeant une autorisation du chef de l’état avant leur audition.

La directrice du CAS est accusée entre autres, d’enrichissement illicite, de trafic d’influence et de détournement de biens publics.

La semaine écoulée le comptable du CAS avait été écroué après son audition.

La CAS est un organe technique du ministère des affaires sociales chargé de venir en aide aux couches vulnérables .

L’ULCC avait dénoncé des détournements de plus de 5 000 chèques destinés aux pauvres.
Les ressources financières du du cas proviennent des prélèvements effectués sur les salaires des fonctionnaires de l’administration publique et les employés du secteur privé.

LLM / Métropole Haïti







Plus d’une vingtaine de présumés  bandits  tués par des membres de la  population.

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Des bandits terrorisaient les habitants de plusieurs zones la Capitale haïtienne dont Turgeau, Debussy, Pacot et Fermathe. Selon des informations qui circulent sur les réseaux sociaux, plus d’une vingtaine de présumés membres de gangs ont été tués par des membres de la  population.

A Canapé-vert, près d’une quinzaine de présumés criminels  ont été lynchés .Ayant en leur possession des armes et munitions, ils se trouvaient à bord d’un minibus de transport en commun.

Environ 100 personnes ont été tuées la semaine dernière lors des attaques des bandits à Source Matelas, une localité de la Commune de Cabaret, rapporte le RNDDH dans son dernier rapport

Au moins 70 autres été tuées lors des affrontements entre gangs rivaux Cité-Soleil en moins d’une semaine révèle le bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA). Les femmes et les enfants en sont les principales victimes

Au Champ de Mars, 2 personnes ont été blessées lors d’une attaque armée perpétrée contre le local de l’Unité Départemental de Maintien d’Ordre l’UDMO. Les malfrats circulaient à bord d’un véhicule de marques Toyota.

En réaction  à ces événements, le premier  ministre Ariel Henry  a salué le travail réalisé par la Police Nationale.

« J’applaudis les efforts considérables et méritoires de la Police Nationale pour faire revenir l’ordre et la paix dans nos villes et nos quartiers. Il y a encore beaucoup à faire. Nos forces de l’ordre sont motivées, malgré les difficultés auxquelles elles sont confrontées », a déclaré, le Chef du gouvernement dans un tweet.

Tout en présentant ses sympathies aux Policiers blessés lors des dernières opérations, le premier ministre a donné la garantie que les problèmes liés à la sécurité  seront résolus  dans le but  faire avancer le processus d’organisation des élections en vue du retour à l’ordre  constitutionnel souhaité par toutes et par tous.