La communauté haïtienne de Floride est confrontée aux intempéries de ces dernières 48 heures. Le sud de la Floride, qui accueille la plus forte communauté de la diaspora, est frappé par des inondations en raison des récentes averses.
De milliers d’Américains d’origine haïtienne et des ressortissants haïtiens sont concernés par ces inondations. Nombre d’entre eux n’ont pu se rendre au travail en raison de l’impraticabilité des routes.
Les comptés de Miami Dade et de Broward sont les plus touchés par les averses. Les habitants de Miami, Fort Lauderdale, Hollywood et Kendal notamment sont les plus touchés.
Dans certains quartiers l’eau arrivait aux genoux, constate un correspondant de presse. Les prévisions météorologiques annoncent la persistance des intempéries jusqu’au week end.
Le monde culturel se mobilise pour réclamer la libération de Boby Denis, pdg de Canal Bleu, kidnappé mardi sur la route de Frère…
Roberto Martino de T-Vice, Fanfan Tibot de Tabou Combo, Ti Raoul Denis Junior, Tico Pasquet de Magnum Band et Ralph Condé entre autres demandent à ce que ce monument de la musique haïtienne recouvre sa liberté.
Notons que L’Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) est d’autant plus préoccupée par cette situation parce que ces dernières années, Robert Denis n’a pas joui d’une bonne santé et était en pleine période de récupération.
Cardiaque et ayant subi plusieurs opérations, Robert Dénis est sous médication stricte. Privé de ses médicaments et des précautions que réclame sa santé précaire, la vie de Robert Denis est en danger.
L’ANMH exige de ses kidnappeurs la mise en liberté de son Vice-Président Robert Denis qui a servi son pays dans différents domaines.
Pendant de nombreuses années à son Studio AUDIOTEK Bobby Denis est celui qui a enregistré la musique de quasiment tous les mini jazz de la fin des années 60 jusqu’au début des années 90.
Par la suite à TELEMAX, Bobby Denis a continué à faire la promotion de la culture et de la musique haïtienne avec Konkou Chante Nwèl qui a enrichi notre patrimoine musicale de chansons de Noël originales.
Membre Fondateur de l’ANMH, notre Association a vu le jour dans les locaux de TELEMAX et Bobby Denis a passé de nombreuses années à siéger au Conseil dont il est à deux reprises, le Vice-Président.
L’ANMH exige la libération de son Vice-Président et enjoint les tenants actuels du pouvoir à oeuvrer enfin pour mettre un terme à ce fléau incompatible avec l’histoire du peuple haïtien.
Le Policier Anderson Destin interpellé pour son affiliation au gang 5 SecondesLe Policier Anderson Destin a été interpellé, ce mardi 11 avril 2023, par le Bureau des Affaires Criminelles (BAC), une entité de la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ).
Cet agent de police a été appréhendé pour sa présumée affiliation au gang 5 Secondes, basé à Village de Dieu et dirigé par Johnson André, alias » Izo ».Issu de la 26e promotion de la PNH, Anderson Destin entretient des communications compromettantes avec le chef de gang dénommé « Izo », dont la dernière remonte au samedi 18 mars 2023. Pour l’instant, une procédure judiciaire est déjà ouverte à la DCPJ en attendant son déferrement par-devant les autorités compétentes en la matière.
Les policiers haïtiens sont au cœur de l’effort pour rétablir le climat sécuritaire en Haïti. Même si le Premier Ministre M. Ariel Henry avait formellement fait appel aux FAD’H, les policiers sont toujours les seuls sur le théâtre des opérations à combattre les gangs. Ce sont des policiers spécialisés de l’Utag et de Swatt team qui sont intervenus en début de semaine dans le quartier de Thomassin.
L’Utag est une unité temporaire anti gang récemment constitué par le chef de la police. Les autorités se gardent de fournir des détails sur cette unité spécialisée. Même si le porte parole de la police, M. Gary Desrosiers, se garde de fournir des explications faisant toujours référence aux moyens limités des forces de l’ordre, il est évident que les policiers ont su au cours des dernières semaines avoir une bonne maitrise des équipements reçus. Des blindés avaient été déployés en renfort dans le quartier de Thomassin. Les policiers ont fait reculer les bandits de Ti Makak dans la vallée Heureuse après plusieurs heures de combats.
Même si des journalistes font état de l’arrêt de l’opération policière à Thomassin les autorités se gardent de divulguer des détails relatifs aux positionnements des forces sur le terrain.
Le Violette a été éliminé en quart de finale de la ligue des champions de la Concafaf par le club mexicain Leon. Lors du match retour hier en République Dominicaine, les haïtiens s’étaient imposés 2-1. Un doublé de Miscneider. Deux buts de la tête insuffisants en raison de la lourde défaite lors du match aller 5-0.
Si en défense centrale ils ont été fébriles les haïtiens ont pu développer un jeu acceptable. A court de compétition les footballeurs haïtiens ont tout de même fait douté les mexicains pendant la première demi-heure.
Dans des conditions extrêmement difficiles les violetistes ont su tirer leurs épingles du jeu. Privé de championnat national depuis trois ans les haïtiens ont fait montre de leur talent. A l’image du gardien de but Decius les haïtiens, dans une petite condition physique, se sont illustrés pour le plus grand bonheur des fans.
La ligue des champions de la Concacaf était l’occasion pour ces joueurs d’être sous les projecteurs. Roberto Bagio Luima a tapé dans l’œil de plusieurs représentants de clubs européens.
Une campagne difficile sur le plan financier pour les dirigeants du violette qui se sont investis corps et âmes dans cette aventure. Sur le plan sportif le Violette peut faire valoir qu’il a été sorti par un club mexicain. Le Mexique est le plus grand championnat professionnel de la Concacaf.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, a désigné mercredi William O’Neill comme Expert des droits de l’homme en Haïti, à la suite d’une demande du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.
Le Conseil a adopté une résolution le 4 avril appelant à la nomination d’un expert indépendant des droits sur Haïti, dans un contexte d’inquiétude croissante face à la violence meurtrière des gangs qui submergent le pays, menaçant les moyens de subsistance et plongeant la moitié de la population dans la faim. La nomination de M. O’Neill est pour une période d’un an renouvelable.
M. O’Neill, ressortissant américain, est un avocat spécialisé dans le droit humanitaire, les droits de l’homme et le droit des réfugiés, avec un accent particulier sur l’établissement et le maintien de l’Etat de droit dans les situations post-conflit.
Il a été conseiller principal sur les droits de l’homme auprès de la Mission des Nations Unies au Kosovo, chef de l’Opération de terrain des droits de l’homme des Nations Unies au Rwanda et a dirigé le Département juridique de la Mission ONU/OEA en Haïti. Il a aidé à établir la Police Nationale d’Haïti (PNH) en 1995, conseillant sur le recrutement, les tests et la formation de la nouvelle force de police, a participé à la création de l’École des juges, et a travaillé en étroite collaboration avec des organisations haïtiennes de défense des droits de l’homme pour aider à former leurs observateurs. Il a également travaillé sur la réforme judiciaire, policière et pénitentiaire au Burundi, au Libéria, en Sierra Leone, au Soudan du Sud, au Timor oriental, au Népal et en Bosnie-Herzégovine.
En vertu de la Résolution A/HRC/52/L.17/Rev.1, l’Expert sera chargé de suivre, avec l’assistance du Haut-Commissariat, et en collaboration avec le Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH), l’évolution de la situation des droits de l’homme en Haïti. Dans l’exercice de ses fonctions, il accordera une attention particulière à la situation des enfants et de la traite des êtres humains, et veillera à intégrer une perspective de genre. Il fournira également des conseils et une assistance technique au gouvernement haïtien, aux institutions nationales des droits de l’homme et aux organisations de la société civile, et les aidera dans leurs efforts pour assurer le respect, la promotion et la protection des droits de l’homme.
La Résolution demande également au Haut-Commissariat de fournir au gouvernement haïtien une assistance technique et un soutien pour le renforcement des capacités dans la promotion et la protection des droits de l’homme, en particulier pour la justice haïtienne, les forces de sécurité et l’administration pénitentiaire.
Le travail entrepris par M. O’Neill contribuera à un rapport écrit provisoire que le Haut-Commissaire présentera au Conseil des droits de l’homme à sa cinquante-quatrième session et à un rapport complet à ce sujet à sa cinquante-cinquième session.
L’Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH) annnonce dans un communiqué qu’elle est abasourdie par la nouvelle du kidnapping de son Vice-Président Robert Denis, Directeur Général de Canal Bleu.
L’ANMH est d’autant plus préoccupée par cette situation parce que ces dernières années, Robert Denis n’a pas joui d’une bonne santé et était en pleine période de récupération.
Cardiaque et ayant subi plusieurs opérations, Robert Dénis est sous médication stricte. Privé de ses médicaments et des précautions que réclame sa santé précaire, la vie de Robert Denis est en danger.
L’ANMH exige de ses kidnappeurs la mise en liberté de son Vice-Président Robert Denis qui a servi son pays dans différents domaines.
Pendant de nombreuses années à son Studio AUDIOTEK Bobby Denis est celui qui a enregistré la musique de quasiment tous les mini jazz de la fin des années 60 jusqu’au début des années 90.
Par la suite à TELEMAX, Bobby Denis a continué à faire la promotion de la culture et de la musique haïtienne avec Konkou Chante Nwèl qui a enrichi notre patrimoine musicale de chansons de Noël originales.
Membre Fondateur de l’ANMH, notre Association a vu le jour dans les locaux de TELEMAX et Bobby Denis a passé de nombreuses années à siéger au Conseil dont il est à deux reprises, le Vice-Président.
L’ANMH exige la libération de son Vice-Président et enjoint les tenants actuels du pouvoir à œuvrer enfin pour mettre un terme à ce fléau incompatible avec l’histoire du peuple haïtien.
Le porte parole de la Police, M. Gary Desrosiers, est peu bavard. Il distille au compte-goutte les informations sur les affrontements entre les forces de l’ordre et les bandits du gang de Ti Makak hier à Laboule, quartier de Pétion ville.
Des informations font état de 7 bandits tués, mais le porte parole ne confirme que 3 bandits mortellement blessés. M. Desrosiers révèle que les affrontements ont eu lieu dans la zone de Vallée heureuse à Laboule 12. Il y a eu des affrontements pendant plusieurs heures, précise l’inspecteur divisionnaire qui se garde de fournir des détails sur la stratégie du haut commandement. Nous n’allons pas baisser les bras, promet M. Desrosiers appelant une fois de plus à une bonne collaboration entre la population et les forces de l’ordre.
Le porte-parole explique qu’il s’agissait de la poursuite de l’opération lancée le dimanche de Pâques. En dépit de la mort de trois policiers, impliqués dans l’opération, les forces de l’ordre n’ont pas lâché prise. Les policiers ont fait montre de bravoure sachant qu’ils n’ont pas le choix face à des bandits lourdement armés.
M. Desrosiers assure que l’opération a été lancée suite aux appels pressants des résidents de la zone. Le gang, qui a tué de nombreux policiers et un ancien sénateur, impose sa loi depuis plusieurs mois dans cette zone.
Des résidents ont appelé les forces de l’ordre à poursuivre l’opération jusqu’au démantèlement de ce gang.
L’Église épiscopale d’Haïti est pourrie à la tête, concèdent des prêtres de cette congrégation. Les dirigeants de l’église épiscopale doivent fournir des explications sur le trafic d’armes et de munitions, disent-ils plaidant pour une investigation judiciaire approfondie. L’Eglise est prisonnière de ce groupe qui recherche leurs intérêts personnels. Nous voulons une résurrection de l’Eglise après 9 mois de calamité, indiquent les pères Diegue, Duvert et Nathanael attristés par le scandale.
Intervenant à l’émission Le Point de Télé Métropole, ces ecclésiastiques ont laissé entendre que l’Eglise est pratiquement sans dirigeant légitime. Le président et l’ex président du comité sont en cavale, et le directeur exécutif est en prison, signale le père Nathanaël regrettant qu’un prêtre recherché par la police, continue de diriger des cultes. Ceux qui dirigent l’Eglise épiscopale ont fait faillite a t-il laissé entendre.
Il faut un changement à la tête de l’Eglise épiscopale parce que ces gens ont sali l’Eglise, ils ne peuvent plus continuer à diriger l’Eglise tranche le père Nathanaël.
Le père Tancrede Diegue soutient que ces personnes ne dirigent rien. L’Eglise n’est pas détruite ces gens doivent se retirer, dit il espérant une renaissance de l’Eglise. Ces gens doivent se mettre à la disposition de la justice, ils ne représentent pas l’Eglise. Ce ne sont que trois personnes en position de pouvoir, arguent les pères Tancrede Diegue et Pierre Andre Duvert.
Toutefois il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Le père Diegue attire l’attention sur un grand nombre de prêtres honnêtes et intègres qui œuvrent à l’amélioration des conditions de vies de la population.
Ces trois prêtres et d’autres avaient été mis en quarantaine par les actuels dirigeants de l’église en raison de leurs revendications de transparence et de bonne gestion.
La Police Nationale d’Haïti poursuit ses opérations, ce lundi 10 avril 2023, à Thomassin, commune de Pétion-Ville. Dans le cadre de ces opérations, plusieurs bandits ont été tués dans des échanges de tirs avec la Police, et des fusils d’assaut ont été également confisqués par la PNH.
« En dépit de l’assassinat des trois policiers, à bord d’une patrouille, par des bandits lourdement armés le dimanche 9 avril 2023, la PNH est une fois de plus déterminée et n’entend pas baisser les bras afin de poursuivre la traque des gangs armés jusqu’à leur dernier retranchement », peut-on –lire sur la page facebook de la Police.
Notons que plusieurs unités de la PNH sont déployées, depuis dimanche , dans les hauteurs de Pétion-ville, particulièrement à Thomassin.
Outre des patrouilles policières qui sillonnent les zones, une subdivision de la section d’engins lourds de la PNH est également sur place dans le cadre de ce déploiement.
Selon la police, le Commandant en chef de la PNH, Frantz Elbé a passé des instructions aux Responsables de toutes les structures de Police de tout mettre en œuvre afin de combattre sans relâche le fléau du banditisme sous toutes ses formes.